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Hommage aux ponts de Paris Painting

MARCEL GROSARU

France

Painting, Paint on Canvas

Size: 56 W x 40 H x 1.2 D in

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About The Artwork

"Le Pont de CALOIAN est un insondable songe qui me rappelle le pont en Or et en argent bati, dans une seule nuit, par le Prince Charmant des contes de fees roumains... L Arlequin est devenu la figure vaguement feminine, le somnambule de la ville qui ne dort pas, avec son cri suspendu au fil de l eau..." -Alexandra MEDREA - Ce tableau a donne le ton a mon Cycle des Ponts de Paris en 2003. l Architecture des Ponts de Paris et touts qui Ilya au tour ça m a toujours impressionne, inspire et obsede jusqu'a faire un Hommage dans une vingtaine de representations de meme format en technique/mixte/carton/maroufle/toile. + fil cousu en couleurs pastel, monochromies ou complementaires. Chaque oeuvre contient un personnage ( arlequin ) qui marche sur un fil cousu ou qui est suspendu a ce fil; le fil de l existence, d incomprehension, des sentiments, de tolerance, des angoisses, des emotions... de nos "Vie". "Le temps eternel est un pont immense comme un radeau surnaturel flottant toujours sur nos larmes, nos Amours, nos haines, il faut tenir bon avec le choc du Cosmos, c est l epaule. " ELIE -AY- Delamare Deboutteville - A Caloian. A Caloïan Le Sentier aérien "Des encres solides et liquides, des palets blancs et bleus, comme une poussière d’albâtre, dessinent un paysage essentiel, un sentier aérien dressé sur le néant… Dentelures, virgules, une symphonie de pierres qui enjambent la Seine comme un glorieux escalier d’agates et d’onyx, suspendue au-dessus des vagues. Une sublime sensation de pureté et d’harmonie sort de ses pierres blanches immaculées, inventées comme une nouvelle graphie, car trop de couleurs suffoquent nos rêves, nos pensées… La pierre est transparente comme les cailloux de l’enfance, jetés dans la rivière pour retrouver leur couleur et leur humidité … Le Pont de Caloïan est un insondable songe qui me rappelle le pont en or et en argent bâti, dans une seule nuit, par le Prince Charmant des contes de fées roumains … Caloian cherche sans cesse un autre mode d’expression porteur de ses angoisses, de ses allers et retours, de ses songes secrets, de ses bonheurs et de ses peines… Sans jamais oublier ses Arlequins, faits de losanges de toutes les couleurs, une pyrotechnie pittoresque pour condenser le grand théâtre du monde, où l’Artiste est parfois saisi de vertiges... L’Arlequin est devenu la figure vaguement féminine, le somnambule de la ville qui ne dort pas, avec son cri suspendu au fil de l’eau… Les figures humaines, tachetées de rouge et de jaune, dessinent des danses rapides, dangereuses, en exprimant leurs désirs et l’envie folle d’exister… Caloïan joue sur le fil tendu qui mesure l’espace et la ligne haute du pont et des réverbères, sur le fil arraché aux déchirures des filets des pécheurs du Danube, jamais oublié… Les personnages prennent leurs forme aux nymphes et aux naïades, maîtresses de l’eau, échappées de ces sources aquatiques pour vivre leurs songes fugitifs… Il ne faut toujours pas oublier ce que Hésiode disait des nymphes qui vivent dix fois, autant que le Phénix … (Alexandra MEDREA, 2004, Paris) Le vol magique « Icare » sur fond blanc est l’abolition de la pesanteur, le désir de l’Artiste de se libérer, se délivrer de ses limites, dans un vol qui atteint la pureté absolue... « Icare » sur fond noir est comme le « vol de nuit » dangereux, ambivalent, où se joue un drame existentiel... En réitérant ce drame, l’Artiste souligne l’origine rituelle de la souffrance de l’héro mythique... Les deux tableaux, en « noir » et « blanc », évoquent l’onirisme et la fascination de Caloïan pour le mythe d’Icare... Des métamorphoses, des signes, des traces d’un abandon, en utilisant le jeux d’ombres et de lumières oscillant entre l’absolu et la déchirure, comme si une onde secrète traverse l’esprit de l’Artiste... Une tumultueuse projection des textes déchirés, une expérimentation sur la matière : métissage des caractères, des lettres, des jeux typographiques, donnent aux deux tableaux l’image d’un « manuscrit » plastique, comme l’affiche... Dans l’ajustement magique du collage, les mots et les couleurs ondulent en toute liberté, pour exprimer la jouissance du vol et de l’abandon... L’Icare de Caloïan s’inscrit dans l’immense dossier du « vol magique » et de toutes les légendes relatives aux « hommes oiseaux » ... Icare continue son voyage initiatique entre Ciel et Enfer, comme nous propose le « blanc » et le « noir », pour souligner la rupture entre le désir de l’Ascension et de la Chute..." (Alexandra Medrea, octobre 2005, Paris) Matière de rêve et rêve matérialisé...... inexorablement. Marcel Caloïan est un artiste peintre d’origine roumaine qui vit et travaille à Paris depuis 20 ans. Très peu connu dans son pays d’origine il a réussi à se faire un « nom » dans son métier. Prêt de 15 000 artistes plasticiens sont recensés à ce jour à Paris. A la fin de l’année 2006 il a créé sa propre école d’artistes « Cours Atelier Caloïan ». Ses créations viennent d’un espace peuplé de phantasmes, d’imagination, d’innovations et de liberté spécifique aux grands esprits (Picasso, Dali, Ernst...) qui ont nourris des générations et aussi d’une authentique vibration personnelle de l’accumulation depuis des années d’études, de perfectionnement et de la recherche de sa propre identité (le peintre à 53 ans). Caloïan n’est pas seulement un excellent coloriste mais aussi un créateur de situations conflictuelles dans lesquelles transparaît le besoin de sa représentation symbolique, poétique et métaphorique. Un symbolisme plus évident qui se superpose sur une construction abstraite, géométrique, spontanée comme une juxtaposition inhabituelle de nuances, de couleurs, d’articulations, de sens, non-sens, de matières, de non-matières, de transparences et d’opacités. Caloïan arrive dans des espaces figuratifs avec émotion, fulgurance, maitrise de soi et chargeant le(s) personnage (s) avec des réverbérations symboliques imprégnées de sa propre existence. Ses expressions sont tourmentées. Les mythes représentent des signes forts, essentiels et mystérieux. Depuis sa jeunesse Caloïan marque son territoire artistique avec aplomb, discernement et authenticité. Sa grande création et j’assume le risque d’une opinion subjective et critique « impressionniste » est de visualiser la forme toujours en dialogue avec le néant (vide). Tout effort de création chez Caloïan n’est pas la décoration comme tendance sublime mais trouver la métaphore qui approche l’acte créateur de la substance poétique pure. La création de Caloïan est verticale et se confond avec l’ineffable, l’esprit immortel, tendance majeure de l’époque post-moderne. J’aime chez Caloïan l’obsession des images transformées, bouillonnées, alambiquées qui deviennent jamais nostalgiques mais au contraire se métamorphosent en signes et symboles. On peut bien affirmer que chez Caloïan il y a l’imprégnation de la modernité qui respire universellement sans contourner la technique, les valeurs impératives de la connotation symbolique, le travail de la composition, les couleurs, les glacis et toute la plasticité qui sublime un art majeur. La beauté de l’être humain vient des profondeurs et Caloïan explore toutes les nuances, les teintes, les ombres, les lumières avec une délicatesse à part et une tempête caractéristique à son personnage. Chez Caloïan c’est le grand raffinement de l’intériorisation, le symbolisme plein d’accent poétique, l’excitation entre réverbération nostalgique sans tomber dans le désuet et l’interrogation dramatique tellement mystérieuse, suspendu dans le « néant » propre aux grands créateurs. Caloïan est la représentation des rêves, mythes, légendes, métaphores et signes poétiques que tout autre artiste désire inexorablement. (Alexandru PADURARU – septembre 2010, Bucarest) A Caloian, Peintres, musiciens, poètes ; Leurs fonctions est bien de veiller à la bonne ordonnance de toutes les entreprises communes et de n’oublier jamais qu’il nous font tenter de rendre compte de la constitution d’un ordre secrètement absolu … Cela ne va pas sans de très longues analyses parmi les plus couteuses. La galerie universelle ne ferme pas et nos calculs n’aboutissent en rien. Il n’y a personne qui n’échoue. Ultinam varietur : voie du salut. Puissé-je varier pour que le poème ne s’achève ! La chose même me soit comme un séisme ; un arrachement ; une flamme par essence incomparable. Peut-être un espace à venir nous est-il promis dés que s’ouvrent les noces de Cana de l’apparence. Le grain de la pierre, Dieu le sent. Il ne fait pas obstacle à ce que nous ébauchions une esthétique unitive. Et nous recréons au paradis des mots les conditions d’une naiveté créatrice. Notre pauvreté fait de nous les Sisyphes d’une confiante vocation à la lumière. Nous inventons le modèle fluide. Champs. Non pas épars, mais structurés les uns par rapport aux autres. Tables non pas éparses d’une Loi comme indéchiffrable de beauté… Tu ne devines pas ce que le sort nous vaut, une guerre renouvelée, divine, Ou d’autres chiens, pris dans des combats inconnus. Avec cruauté nous attaqent… Ils sont bien là, pourtant, nous aiffraient, Nous trompent, rompent peut-être une chaine et puis de toujours Ecartent de nos refuges. Redout de pareils justiciers. Nos juges ? Déjà les sentences s’entendent. De part …En part nous les révolent. Nous les connaissons pour avoir la mesure. Des feux qui nous gouvernent ! Nous ne sommes pas innocents. A nous rétablir dans notre pouvoir dans notre désir d’atteindre Au très profond rivage que nos pas effacent. Des pas ? Des pas Tu ne comptes pas, ne compteras, ne compte pas…En effet Que tu ne comptes pas, ne compteras, ne compte pas ! Tu ne recherche En effet que la sainte énergie des faux les plus fragiles, des fleurs tardives Pierre OSTER ( poëte, essayste, philosophe), 2016, Paris

Details & Dimensions

Painting:Paint on Canvas

Original:One-of-a-kind Artwork

Size:56 W x 40 H x 1.2 D in

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Je représente le contenu d'une expression sincère magnifiée par le geste, l'accent, le sens, le symbole, le signe, la transparence. Il y a quelques années, ma création (la figuration libre) a glissée au fil des recherches dans l'abstraction avec de fréquentes utilisations de structures géométriques ; cercles, triangles, carrés, lignes, losanges, points...plus ou moins sur le " i " ...!!!

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