view additional image 1
View in a Room ArtworkView in a Room Background
882 Views
4

VIEW IN MY ROOM

"Aquatique..!" Painting

MARCEL GROSARU

France

Painting, Mixed Media on Canvas

Size: 25.6 W x 32.3 H x 1 D in

Ships in a Box

info-circle
$19,999

check Shipping included

check 14-day satisfaction guarantee

info-circle
Primary imagePrimary imagePrimary imagePrimary imagePrimary image Trustpilot Score
882 Views
4

Artist Recognition

link - Artist featured in a collection

Artist featured in a collection

About The Artwork

Oeuvre construite dans une technique/mixte (acrylique, glacis, vernis, collages) sur toile. Matiere epaisse realisee par des couches successives de peintures et "Non" par d'autres matieres..! La Creation est tournante...elle correspond aux criteres majeures de la peinture de CALOIAN; la recherche de la Composition, la matiere dense, le contraste, la sublimation de la couleur, le sens de la metaphore et du symbole...Le style presque pop-art de cette creation faite resonannce a mes influenceurs du moment ; Roy Lychtentein, Rauchenberg, Andy Warhol... En ce qui concerne la construction de la couleur dans la peinture de CALOIAN, on devine facilement son aspiration à bâtir un style. Le jeune peintre n'est pas monocorde comme cela arrive souvent à un peintre de son âge. De plus, il ne fait pas de son originalité un fétiche dans le but de se démarquer des autres. Il sait bien que l'originalité à l'état pur n'existe pas, que la personnalité d'un artiste prend corps par la fermeté des lignes qui l'unissent à la création des autres artistes et non pas par l'illusoire rigueur que l'on devrait plutôt appeler rigidité. Cette rigueur pourrait le détacher du reste de l'univers artistique. Il sait que l'art est surtout une synthèse. Ainsi, pour lui, la création consiste en une intégration dans un monde cohérent bâti à partir de lois compliquées, lois qui agissent néanmoins sur la base d'une logique sans faille. En apprenant à maîtriser ses effets(sa peinture est par sa nature même affective, débordante d'une émotion intense), CALOÏAN les introduit dans un ordre des choses qui les rend plus persuasifs, capables de mieux exprimer un état d'esprit, une attitude esthétique, par seulement le résultat immédiat de la rencontre avec le sujet. Il ne transforme pas sa peinture en une fantasmagorie, mais en une répétition mimétique de l'objet réel. Il s'implique dans l'acte de coloration du réel et dans l'éclairage de ses sensations essentielles. L'artiste se concentre avec acharnement sur son art, conscient que la joie de la création n'est que le résultat d'un immense travail. Le sérieux est la qualité nécessaire de la peinture et CALOIAN l'est pleinement. (Dan GRIGORESCU, mai 1989, Bucarest) CALOÏAN : la mesure de l’indicible. L’essence du travail de Caloïan est la matière dont on fait les rêves. Regardez. Les circonvolutions de son trait expriment le bouillonnement intérieur dont il est issu. L’extrême densité de ses représentations terrestres est telle qu’elle défie les lois de la pesanteur ; et son dessin, à regret confiné dans la structure géométrique de la toile, trouve son épanouissement dans une profondeur nouvelle qui ne doit rien à l’épaisseur de la peinture mais tout à l’impression savante des couleurs imaginée par notre artiste. Caloïan ne propose pas une vision d’un monde nouveau ou arrangeant, mais une vision nouvelle d’un monde dont il sait qu’il est bien le même que celui qui soutient le regard de ses contemporains, et qu’il en va de la quête de ces derniers comme de la sienne : la recherche d’une grâce volée aux dernières lueurs de l’enfance, l’expression d’un passage sans compromissions éclairé du plus lumineux de notre intérieur, un chemin qui vaudrait la peine d’être arpenté. En cela, son art est majeur car il propose un trait d’union entre son itinéraire artistique, innovant, en mouvement incessant, et le désir du spectateur de reconnaître un morceau de sa chair sur la toile. A présent, reculez. Encore. Le recul est nécessaire pour comprendre la vision. Bien sûr, le désir est grand de répondre à l’appel de proximité des couleurs coulées directement des yeux de notre peintre pour restituer au mieux vivant sur la toile les imageries tellement plus complexes qu’il a déjà formentées dans son cerveau. C’est donc un travail de composition dans tous les sens du terme : composition de l’image, position des couleurs, mises en composition avec l’émotion, précision de la pensée, renouvellement de son langage sur le monde, lucidité du professionnel. Caloïan a des thèmes de prédilection, mais ceux-ci ne répondent pas forcément à leurs critères naturels, et il n’est donc pas surprenant de voir ses taureaux prendre leur envol (Tauromachie), ses hommes s’écraser sur la terre (Icare), ou encore de constater que la nudité de ses femmes voile imperceptiblement la condition de nos vies, laquelle est le vêtement de nos âmes. C’est pourquoi ses masques sont vibrants, osseux, dépourvus de peau. C’est pourquoi ses totems bravent l’éternité. Reculez encore, et observez. L’étendue de sa peinture est impressionnante : mille tableaux fourmillent en un seul, le trait exprime la vision, la couleur en est sa caisse de résonance, et il résulte de ce chaos apparent une familiarité bouleversante, un écho final aux sentiments ordinaires. Ce travail acharné ne peut être mesuré. Et s’il le doit, sa valeur marchande ne doit être ni contestée, ni discutée. (Bénatar, juillet 1998, Les Ulis) Le vol magique « Icare » sur fond blanc est l’abolition de la pesanteur, le désir de l’Artiste de se libérer, se délivrer de ses limites, dans un vol qui atteint la pureté absolue... « Icare » sur fond noir est comme le « vol de nuit » dangereux, ambivalent, où se joue un drame existentiel... En réitérant ce drame, l’Artiste souligne l’origine rituelle de la souffrance de l’héro mythique... Les deux tableaux, en « noir » et « blanc », évoquent l’onirisme et la fascination de Caloïan pour le mythe d’Icare... Des métamorphoses, des signes, des traces d’un abandon, en utilisant le jeux d’ombres et de lumières oscillant entre l’absolu et la déchirure, comme si une onde secrète traverse l’esprit de l’Artiste... Une tumultueuse projection des textes déchirés, une expérimentation sur la matière : métissage des caractères, des lettres, des jeux typographiques, donnent aux deux tableaux l’image d’un « manuscrit » plastique, comme l’affiche... Dans l’ajustement magique du collage, les mots et les couleurs ondulent en toute liberté, pour exprimer la jouissance du vol et de l’abandon... L’Icare de Caloïan s’inscrit dans l’immense dossier du « vol magique » et de toutes les légendes relatives aux « hommes oiseaux » ... Icare continue son voyage initiatique entre Ciel et Enfer, comme nous propose le « blanc » et le « noir », pour souligner la rupture entre le désir de l’Ascension et de la Chute... (Alexandra Medrea, octobre 2005, Paris) A Caloïan Le Sentier aérien Des encres solides et liquides, des palets blancs et bleus, comme une poussière d’albâtre, dessinent un paysage essentiel, un sentier aérien dressé sur le néant... Dentelures, virgules, une symphonie de pierres qui enjambent la Seine comme un glorieux escalier d’agates et d’onyx, suspendue au-dessus des vagues. Une sublime sensation de pureté et d’harmonie sort de ses pierres blanches immaculées, inventées comme une nouvelle graphie, car trop de couleurs suffoquent nos rêves, nos pensées... La pierre est transparente comme les cailloux de l’enfance, jetés dans la rivière pour retrouver leur couleur et leur humidité ... Le Pont de Caloïan est un insondable songe qui me rappelle le pont en or et en argent bâti, dans une seule nuit, par le Prince Charmant des contes de fées roumains ... Caloian cherche sans cesse un autre mode d’expression porteur de ses angoisses, de ses allers et retours, de ses songes secrets, de ses bonheurs et de ses peines... Sans jamais oublier ses Arlequins, faits de losanges de toutes les couleurs, une pyrotechnie pittoresque pour condenser le grand théâtre du monde, où l’Artiste est parfois saisi de vertiges... L’Arlequin est devenu la figure vaguement féminine, le somnambule de la ville qui ne dort pas, avec son cri suspendu au fil de l’eau... Les figures humaines, tachetées de rouge et de jaune, dessinent des danses rapides, dangereuses, en exprimant leurs désirs et l’envie folle d’exister... Caloïan joue sur le fil tendu qui mesure l’espace et la ligne haute du pont et des réverbères, sur le fil arraché aux déchirures des filets des pécheurs du Danube, jamais oublié... Les personnages prennent leurs forme aux nymphes et aux naïades, maîtresses de l’eau, échappées de ces sources aquatiques pour vivre leurs songes fugitifs... Il ne faut toujours pas oublier ce que Hésiode disait des nymphes qui vivent dix fois, autant que le Phénix ... (Alexandra MEDREA, 2004, Paris)

Details & Dimensions

Painting:Mixed Media on Canvas

Original:One-of-a-kind Artwork

Size:25.6 W x 32.3 H x 1 D in

Shipping & Returns

Delivery Time:Typically 5-7 business days for domestic shipments, 10-14 business days for international shipments.

Je représente le contenu d'une expression sincère magnifiée par le geste, l'accent, le sens, le symbole, le signe, la transparence. Il y a quelques années, ma création (la figuration libre) a glissée au fil des recherches dans l'abstraction avec de fréquentes utilisations de structures géométriques ; cercles, triangles, carrés, lignes, losanges, points...plus ou moins sur le " i " ...!!!

Artist Recognition

Artist featured in a collection

Artist featured by Saatchi Art in a collection

Thousands Of Five-Star Reviews

We deliver world-class customer service to all of our art buyers.

globe

Global Selection

Explore an unparalleled artwork selection by artists from around the world.

Satisfaction Guaranteed

Our 14-day satisfaction guarantee allows you to buy with confidence.

Support An Artist With Every Purchase

We pay our artists more on every sale than other galleries.

Need More Help?

Enjoy Complimentary Art Advisory Contact Customer Support